D’après L’Apocalypse selon saint Jean
Dans notre époque en proie aux angoisses collapsologistes, Je vois, venant de la mer, une bête monte s’empare de l’un des plus grands récits de fin du monde : l’Apocalypse selon saint Jean. Entre gravité et humour incisif, la création repose sur un déferlement de visions qui traversent le corps d’une seule interprète. Comme la collision inattendue entre Jérôme Bosch et
Greta Thunberg dans une improbable procession de
pénitents andalous.
UNE CRÉATION DE ET AVEC CHRISTINE ARMANGER
COLLABORATION ARTISTIQUE : LAURENT BAZIN
PRODUCTION : [COMPAGNIE LOUVE]
CO-PRODUCTIONS : MICADANSES, CHORÈGE | CDCN FALAISE,
L’ONDE THÉÂTRE CENTRE D'ART - SCÈNE CONVENTIONNÉE D'INTÉRÊT NATIONAL - ART ET CRÉATION POUR LA DANSE,
SOUTIEN À LA PRODUCTION : LE CCN DE CAEN EN NORMANDIE – DIRECTION ALBAN RICHARD, AVEC LE SOUTIEN DE DANSE DENSE DANS LE CADRE DE L'AIDE À L'EXPÉRIMENTATION
RÉSIDENCES ET SOUTIENS : AVEC LE SOUTIEN DU CENTQUATRE-PARIS, L’ONDE THÉÂTRE CENTRE D'ART - SCÈNE CONVENTIONNÉE D'INTÉRÊT NATIONAL - ART ET CRÉATION POUR LA DANSE, RÉSIDENCE À CHORÈGE | CDCN FALAISE, RÉSIDENCE À MICADANSES, RÉSIDENCE AU COLOMBIER,
AVEC LA MISE À DISPOSITION DE STUDIOS AU CN D