De Diaboli s’intéresse à la figure ambivalente du diable et à ses enjeux contemporains, notamment par le biais d’un questionnement sur l’Intelligence Artificielle (IA). La pièce est portée par trois interprètes et un chien robot, qui va entrer en interaction avec les spectateurs. Dans un flirt halluciné entre les diableries du XVe siècle et un épisode de Black Mirror, De Diaboli cherche à inventer un sabbat pour le temps présent.